tag:blogger.com,1999:blog-34063304.post8726514074507614184..comments2023-02-27T12:10:48.624+01:00Comments on Musica sola: La Didone, pour l'amour de CavalliRameauhttp://www.blogger.com/profile/06303312974693521042noreply@blogger.comBlogger5125tag:blogger.com,1999:blog-34063304.post-61568425572129197372012-04-19T22:31:12.778+02:002012-04-19T22:31:12.778+02:00Oui, c'est vrai, j'ai peut-être été un peu...Oui, c'est vrai, j'ai peut-être été un peu gentil avec Dumestre. Mais je trouve dans ce genre de cas difficile de faire la part des choses entre la léthargie scénique et les problèmes musicaux (j'ai aussi entendu les déraillements dont vous parliez).<br />La Didone n'est pas un opéra que je connais très bien. Je n'ai que la version de Hengelbrock, que je n'ai pas écouté Rameauhttps://www.blogger.com/profile/06303312974693521042noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-34063304.post-28604443236151343102012-04-17T17:06:29.835+02:002012-04-17T17:06:29.835+02:00Car on dit toujours (je pense plus au bien pensant...Car on dit toujours (je pense plus au bien pensant qu'à vous, qui semblez au contraire savoir ces choses là) que la partition est "qu'une ligne de chant et une ligne de basse"... ce qui me fait beaucoup rire. Parce qu'on semble penser que cette "pauvreté" est le fait seul de Cavalli. Non. Dans la partition de La Didone, toutes les ritournelles sont entièrement Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-34063304.post-23490818206356893192012-04-17T17:06:14.079+02:002012-04-17T17:06:14.079+02:00Je pense que ce qui me surprend le plus, c'est...Je pense que ce qui me surprend le plus, c'est la rudesse avec laquelle vous jugez Christie, et la complaisance que vous avez envers Dumestre. Je peux le dire franchement : la direction de l'Egisto était une catastrophe. Vous parlez de monotonie dans La Didone de Christie ?? Dans l'Egisto, il y avait le mode TUTTI et le modes CORDES PINCÉES comme vous le soulignez vous même. Dans l&#Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-34063304.post-49106937399462762312012-04-17T11:06:39.995+02:002012-04-17T11:06:39.995+02:00Merci pour ce riche commentaire ! Je reprends votr...Merci pour ce riche commentaire ! Je reprends votre message dans le sens inverse... Le parti de Jacobs n'est pas du point de vue théorique celui qui me séduit le plus, c'est évident, mais il n'est pas fait pour cela, et j'y prends un plaisir que je ne vais pas nier. L'argument selon lequel il faut étoffer l'orchestration parce qu'il faut s'adapter au gigantisme desRameauhttps://www.blogger.com/profile/06303312974693521042noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-34063304.post-67593970510295170842012-04-17T03:40:54.217+02:002012-04-17T03:40:54.217+02:00Je ne pas vous reprocher votre amour de Cavalli --...Je ne pas vous reprocher votre amour de Cavalli -- je le partage. Néanmoins dans vos critiques de ces opéras, je suis un peu choqué par la place démesurée que prend la critique de la mise-en-scène. Dans votre billet dans l'Egisto, à peine trois lignes sur la musique, et puis du venin contre : l'Opéra-Comique, Lazar, et j'en passe.<br /><br />Enfin ici, vous critiquez la mise-en-scène Anonymousnoreply@blogger.com