Le ballet classique, avec son répertoire microscopique, ne trouve sa justification, sa force vitale, que dans la comparaison. C’est très beau, un Lac des Cygnes ; mais trois, cinq, sept Lacs des Cygnes, c’est encore plus beau. Retour sur deux séries récentes au Ballet de l’Opéra de Paris, deux séries très différentes à l’issue desquelles on ne sait plus très bien où se tourner pour comprendre où va la troupe, mais où on aura au moins eu des moments assez exceptionnels.
jeudi 10 mai 2012
Inscription à :
Articles (Atom)