jeudi 12 décembre 2013

Cavalli enfin sauf : Elena regina

Jusqu'ici, sur ce blog, je ne parlais de Cavalli que pour me lamenter : pitoyable Calisto meublée par Macha Makaïeff, poussiéreuse Didone endormie par l'ineffable William Christie, pédant Egisto assombri par Benjamin Lazar, quelle triste litanie pour un compositeur et un style théâtral pleins de vie, pleins d'humour, pleins d'émotions diverses aussi. Heureusement vint Elena - bien sûr, ce n'est pas un spectacle créé à et pour Paris, mais dans cette ville, banlieue chic comprise, il vaut souvent mieux le produit importé que la fabrication locale.

Entre Hélène et Ménélas, c'est du sérieux.

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