Mes lecteurs mélomanes vont soupirer : quoi, encore de la danse ? Mais oui ; après tout, ce n'est pas ma faute si Paris est dans le domaine lyrique descendue au rang de bourgade de province (patientez, on va parler de Wagner très bientôt). Il y a quelques jours, c'était du Bolchoi que je vous parlais, et de la manière fort agaçante dont cette vieille institution auréolée de sa tradition centenaire jouait de son image pour faire du marketing ; nous voilà revenus aux affaires parisiennes, puisque c'est Rain d'Anne-Teresa de Keersmaeker qui tient l'affiche du Palais Garnier.
samedi 28 mai 2011
Rain, la danse en question
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